C’est l’âme en peine que j’avais, une semaine plus tôt, quitter Cliver pour Magnolia. Affaire personnel, leur avais-je dit. Pas de missions, pas de famille là-bas, je n’avais été qu’un simple passant pour eux. N’affichant ni guilde, ni émotions quelconques. Que la nostalgie d’antan. Désormais de retour, je me tenais debout, observant la porte d’entrée de la guilde depuis près de quelques minutes. C’était … comme si une force m’empêchait d’entrer à l’intérieur. Je ne fessais qu’observer les lieux, qu’écouter. L’atmosphère brisait le silence que la nuit avait plus tôt posé. Peut-être était-ce cette absence qui m'interdisait d’avancer. Peut-être ne voulais-je simplement pas rentrer. Bien que membre de la guilde, et bien que je les considéraient comme des membres de ma famille, ils n’en étaient pas moins, à mon regard, que des étrangers. L’âme tellement fragile et petite, je me demandais parfois si certains me prenaient encore pour un visiteur. Moi qui prenait peu de places. Ne disant jamais rien. Ne participant même pas aux fêtes qu’organisaient la guilde sur le bord de la plage.
Il est vrai que je ne me suis jamais attardé à les connaître d’avantage. Essayant même, le plus souvent, de faire les missions en solitaire. *soupir* Je sais ! Une guilde est souvent une histoire d’entraide, mais j’ai du mal à l’accepter. Comment le pourrais-je de toute façon ? Connais-toi toi-même … quelle belle phrase ! Quelle ironie … dure de s’apprécier après tout ce que j’ai vécue, mais comment pourraient-ils le savoir ? Moi qui ne leur ait dit que mon prénom … d’ailleurs, ce n’ai même pas le bon ! Si seulement je le connaissais.
Je respire profondément, essayant de me donner le courage d’entrer dans cette arène de fêtard. Puis, doucement, j’ouvris la porte de la guilde. Le son devenait de plus en plus agressant à mes oreilles. J’ignore si, ce que je ressens est de la joie ou, de la peine, mais encore une fois, pas un regard vers moi bien que la salle soit bondée. Tous s’amusent. Certains seuls, d’autres entre eux. Boissons, jeux et fous rirent. Je m’étonne à rire. Peut-être devrais-je regarder pour un boulot, cela fait longtemps que je n’ai pas travaillé et, je dois payé les comptes *soupir*. Il faut dire que mon voyage à Magnolia, et le fait de dormir dans des auberges, ne m’avait pas non plus aidé monétairement … mais j’avais le besoin de le faire. Maintenant, je devais en payer le prix.
Je m’approchais du tableau d’un pas léger évitant l’un des membres titubant.
- Voyons voir …
Je déplaça mon doigt de haut en bas, de gauche à droite, listant par le fait même les missions pouvant mettre destinées. Rien de trop complexe, ni de trop simple. Ainsi, je n’aurais pas à faire 10 missions pour rembourser ce que j’aurais bientôt à payer. Si seulement je n’étais pas aussi solitaire … je pourrais me trouver quelqu’un avec qui faire une mission.
Je me tournais vers la salle, face aux autres. Qu’est-ce qui me prenais ? Tout le monde était en équipe ! Tout le monde avait un partenaire de mission, voir plusieurs. Aussitôt cette réflexion faites, mon regard se tourna de nouveau vers le tableau d’affichage, réfléchissant à ce que je pouvais bien prendre.
La matinée allait être très dure, je n’avais aucune envie de me lever, ma flemmardise était plus forte que les autres jours, il y avait de mélangé avec cette envie de rester au lit un petit coup de déprime, la guilde partait de plus en plus en cacahuète et je voulais allez à Oark pour voir une personne qui m’est cher. Après être resté une petite heure à ne rien faire je trouvais le courage de me lever et de me préparer pour rejoindre la guilde espérant qu’elle ne soit pas aussi vide que les dernières fois.
Me voilà dans le bateau en direction de la guilde, le temps n’est pas non plus au rendez-vous le ciel es grisâtre comme s’il pouvait pleuvoir d’une minute à l’autre cela n’allait pas m’aidez à être motivé aujourd’hui ; le bateau me dépose au port il me reste donc encore une bonne dizaine de minutes à pied, ça me laissera le temps pour réfléchir à ce que je vais faire aujourd’hui, mais il y a quelque chose qui m’inquiète un peu plus c’était la présence du maître, il n’était pratiquement plus à la guilde de ce fait tout le monde pensait faire ce qu’il voulait comme partir en groupe et se battre avec Fairy Tail, cela est vraiment énervant nous devrions pendre exemple sur Thunder Light, si je me souviens bien ils n’ont jamais agis comme nous, il continuer leurs travail de mage sans déranger les autres guildes.
Me voilà déjà devant les portes de la guilde, je n’ai même pas décidé de ce que je voulais faire, j’entre dans la guilde et pour une fois une bonne surprise énormément de monde est présent il semblerait en plus qu’ils soient assez de bonne humeur, une bonne nouvelle dans cette journée, pour ce qui concerne mon occupation, je vais juste m’occuper d’une mission ca me changera sans doute les idées, me voilà en route pour le panneau des mission, il semblerait que je ne suis pas le seul à vouloir partir en mission, une nouvelle recrue a aussi envie de partir en mission par contre je ne me souviens plus de son nom, mais est-ce qu’elle nous en avait parler au moins ?
Pourquoi ne pas profiter de ça pour faire connaissance, c’est vrai que c’est assez dure que s’intégrez dans une guilde en peu de temps, voilà mon objectif du jour j’approchais de plus en plus du tableau et je remarquais que les missions s’accumulait il fallait trouver qu’elle que chose d’assez sympathique, tient en voilà une d’intéressante et qui en plus permettra de voir le niveau de cette personne. Je pointe du doigt la mission et commence à engager la conversation :
« Cette mission paye bien et ce finit rapidement à deux, je compte la prendre si le cœur te dit de m’accompagner rejoins-moi à la gare à 15h précise, libre à toi de choisir. »
Je pris la feuille et partit en direction du dortoir pour faire mon sac, j’avais agis comme ça pour savoir si elle ferait confiance à quelqu’un de sa guilde sans ne jamais lui avoir parlé, j’espérais juste qu’elle viendrait. Après avoir fait mon sac il me restait à tuer le temps pendant trois heure, je partis cette fois-ci en ville pour manger et faire le tour de qu’elle que magasins, voilà enfin venue 14h30 je partis en direction de la gare. J’attendais depuis presque 25 minutes elle ne viendrait sans doute pas, mais j’attendais quand même les cinq dernière minutes.
Le temps arrangeait certaines choses, mais certainement pas mon esprit. Celui-ci divaguait de nouveau, maudissant ma magie et son inutilité. Me demandant comme j’avais fait jusqu’à présent pour réussir toutes ses missions sans l’aide de personnes. Comment pouvais-je gagner un combat sans pouvoir me battre? Tout ce que je pouvais faire était de repousser mes ennemis, contré leurs attaques et soigner. Un véritable cas désespéré. Je me demande parfois si ce n’est pas par charité et pitié que je suis dans cette guilde.
Alors que mon esprit revenait à lui, une silhouette s’approcha du tableau. Je restais de marbre face à ce nouvel arrivé, ne daignant même pas de le regarder. Peut-être ferait-il comme tout les autres. Partir, en prenant avec lui l’affiche d’une mission. Je mis était accoutumée de toute façon. Certain seul, d’autre en petit groupe. C’était … la procédure. Un groupe se formait et, le plus clair du temps, finissait par toujours faire les missions ensembles. C’était … plus simple et probablement plus efficace de cette façon. *Soupir* Mais ce n’était pas mon cas. J’étais présente depuis peu et, à vrai dire, je n’avais fait que des petites missions solos. Ainsi, je n’avais pas besoin de discuter, coopérer … pleurer ou même souffrir.
L’homme pointa donc l’affiche que je regardais, me disant qu’elle payait bien et, qu’à deux, cela se terminerait beaucoup plus facilement. Il prit donc la feuille et me donna comme lieu de rendez-vous la gare, à quinze heures. Surprise, je le laissai partir sans dire un seul mot. Je n’arrivais toujours pas à croire ce que je venais d’entendre.
Cela me prit quelques instants, restant, debout comme une idiote, devant le panneau d’affichage. Tellement dans la lune, que je ne vis pas l’un des membres de la guilde, bière à la main, s’approcher de moi et de renverser le contenu de sa chop sur mes vêtements. *soupir* Pourquoi moi? Mes habits ayant eux le temps d’imbiber le liquide, je sentais désormais l’alcool à plein nez et, alors que le fautif allait se servir un nouveau verre (sans même s’excuser) je pris la direction de ma chambre.
Toujours confuse par ce qui venait de se produire, je préparai mon sac en vitesse et, me rendit aux douches communes pour purifier mon corps de cette odeur nauséabonde.
- *sourire* Heureusement que je suis la seule …
Tout en faisant ma toilette, je chantonnais un air mettant revenu quelques jours plus tôt (ignorant d’ailleurs que je chantais sous la douche). Quelques minutes plus tard, je me retrouvais à la gare, cherchant du regard la personne qui m’avait proposé de faire équipe. D’ailleurs, prendre une douche m’avait quelque peu retardé. Alors que je le vis, j’accourue vers lui, m’arrêtant derrière sa dite personne.
- Navrée du retard, lui dis-je d’une voix douce et quelque peu essoufflée, j’ai eux quelques ennuies avec …
Je m’arrêta quelques instant, me disant à moi-même qu’il n’avait pas besoin de savoir toutes mes mésaventures.
- … peux importe! On y va?
Je lui souriais. Encore un beau (et faux) sourire comme je savais si bien les faire … aurais-je un jour la force d’en faire un véritable de nouveau? Le train sonna son départ.
Voilà trois heures pile et la mage arrive juste à ce moment là, elle semble un peu essoufflé, elle a du ce dépêcher pour arrivée à l’heure elle me regarde et s’excuse du retard elle semble aussi vouloir expliqué la raison de son retard, mais elle se stoppe net et me dis que finalement cela n’as pas d’importance et qu’on devrait y aller. Je devrais sans doute lui demander son nom ça fait quand même quelque temps que je la vois à la guilde et les présentations ne sont toujours pas faite, le bruit du train prés à partir ce fait entendre et la jeune mage me rajoute qu’il faut vraiment qu’on y aille, je commence donc à courir pour rejoindre le train.
Nous voilà installé à nos places, le paysage est magnifique sous la pluie c’est rare que je fasse le voyage dans cette direction, je regarde en direction de la mage elle m’adresse un grand sourire je ne sais pourquoi, mais il me met mal à l’aise comme si quelque chose sonnait faux dans son expression, mais bon je ne dois pas m’inquiéter pour ça, le plus important est de s’occupée pendant le trajet je remettrais les présentations quand nous seront arrivé au village.
Le trajet me semble long, un horrible silence pesse ici, je ne dédaigne même pas parler et la jeune femme semble être complètement ailleurs c’est peut être une des raisons qui fait qu’elle n’est pas encore formé de groupe avec des mages de la guilde, bon lisons pour essayer de faire passer le temps. Voilà que le train semble ralentir nous serions enfin arrivé ce n’est pas trop tôt, je laisse la mage devant moi pour être sur qu’elle ne reste pas dans le train et une fois que nous sommes sortis de la petite gare direction l’auberge, la nuit ne va sans doute pas tarder nous nous occuperons de la phase pratique de la mission demain ce soir occupons nous de la théorie.
Une fois installé confortablement dans l’auberge réservée par la personne qui a fait la demande, je me présentais à la jeune mage :
« Cela ce fait peut être tardivement, mais je me nomme Ren Hagane, je suis un mage de rang S dans la guilde, nous devrions commencer à parler de la mission, j’ai donc deux questions. La première comment te nommes-tu ? Et la seconde qu’elles sont les propriétés de ta magie ? »
Nous ne prîmes pas grand temps avant de nous trouver une place à bord du train. Je prenais que rarement ce type de transport. Du temps où je voyageais, je préconisais surtout la marche. Plus long, mais certes moins couteux. Néanmoins, je dois avouer que le train offrait l’un des avantages que j’adorais de la marche : Le paysage. Il était plaisant de voir l’œuvre de la nature. Cliver offrait de si belles peintures à tous artistes qui se respectaient. Mon regard restait tourné vers ce que me proposait la fenêtre. Des collines, des rivières et j’en passe. Tant de belles choses. Pour une fois, aucun cauchemar ne vient me hanter. Je ne faisais qu’observer, oubliant, par le fait même, que j’étais en compagnie d’un parfait inconnu dont j’ignorais jusqu’à son identité.
Aurait-il aimé cet endroit? Lui dont le temps c’était si soudainement arrêté. Mon vieil ami … que penserais-tu de tout cela? Nous qui formions une si belle équipe *soupir*. Tout passa si rapidement que je n’eus le temps de voir le temps passer. Déjà, le train ralentissait, avertissant par le fait même les passagers que nous étions bientôt arrivé. Sortis de mes rêveries, le mage me laisse passer devant. Tient! Ce jeune homme serait-il galant? Cela changerait des ivrognes rencontrés à Magnolia et de l’idiot ayant reversé sa bière sur moi.
Nous prîmes rapidement le chemin de l’auberge. Encore une fois, le trajet fut transpercé par le silence. Tellement silencieux que je pouvais entendre le son de mes pieds sur le sol du village. Levant, je crue remarquer que le soleil déclinait dans le ciel. Bientôt, la lune et les étoiles y seraient visibles. Aurais-je le temps de voir ce spectacle? Le levé lunaire, l’illumination des astres solaires lointains étaient si merveilleux à observer. Se secouai doucement la tête, me disant à moi-même que cela ne servait à rien et que je n’étais ici que pour la mission et non pour une manie des plus déplacé. Nous arrivâmes à l’auberge réservée par le client. La chambre avait été préalablement préparée pour notre arrivé. Alors que j’observais les lieux, j’entendis le mage se présenter. Je sursautai, surprise de l’entendre. À vrai dire, je ne m’attendais pas à ce qu’il me parle. Il renchérit en m’informant qu’il était un mage de rang S. Wow! Je ne m’attendais pas à cela. Puis, il me posa deux questions, la première, très évidente, me demandait mon nom. La seconde, par contre, beaucoup plus étrange, me réclamait mon type de magie.
Sur le coup, je ne compris pas l’essence de sa question. Après tout, je n’avais gère l’habitude de faire des missions de groupes. Et puis, était-ce simplement pour coordonné la mission. Alors qu’il s’allongeait sur le lit, je me tournai vers le rebord de la fenêtre, le spectacle ayant déjà commencé. C’était triste de devoir le manquer.
- Namida Ten, mage aguerris, lui dis-je toujours absorbée par les quelques constellations que je pouvais à peine distinguer de la fenêtre.
Ce nom … c’était le seul que je pouvais lui donner bien que ce ne soit pas le réel. Tant que la deuxième question, je pris un certain temps avant de répondre.
- J’ai la capacité de créer un bouclier « invisible » pour repousser les attaques de mes ennemis* courte pause *je peux aussi guérir les blessures de mes alliés, mais ce n’est pas possible en ce moment, lui dis-je en me retournant vers lui, tu n’as pas besoin de savoir pourquoi.
Je fermais les yeux, que quelques instants. Réalisant que son « niveau » était plus élever que le mien et souhaitant qu’il n’en fasse pas tout un plat.
- … et toi. Quel est ton don?
C’était toujours pour moi ironique d’appeler la magie un … don puisque celle-ci ne cessait de me blesser, mais c’était tout de même ce qu’eux disait alors … se fondre dans la masse …
J’étais allongé sur le lit sa réponse fut quelque peu hésitante et elle semblait comporté comme de la tristesse :
« Namida Ten, mage aguerris. »
Une mage aguerris donc, elle devait avoir une bonne magie pour être de ce niveau alors qu’elle nous avait rejoins que depuis quelque temps, maintenant ne restait à savoir ci je ne me suis pas fait d’idée sur sa magie :
« J’ai la capacité de créer un bouclier « invisible » pour repousser les attaques de mes ennemis.je peux aussi guérir les blessures de mes alliés, mais ce n’est pas possible en ce moment.tu n’as pas besoin de savoir pourquoi. »
Elle ce retourna vers moi lorsqu’elle finit sa phrase, une magie répulsif quelque chose d’assez peu commun et en plus coupler à un sort de guérison qui ne fonctionne pas, elle ne veut pas en parler cela doit sans doute avoir un rapport avec la situation dans laquelle ce trouve l’utilisateur sans doute un état d’esprit ou quelque chose du genre, mais bon ce n’est pas un problème elle possède une magie fort prometteuse si elle est bien utilisé j’ai hâte de voir ça lors de la mission.
Le silence commençait à ce présenté, j’ai peur que la situation ne finisse comme dans le train, mais je ne trouvais pas d’idée pour parler je pensais à leurs actuelle à la façon de combattre les cinq mages une chose était sur il ne fallait absolument par que nous nous séparions durant la bataille et la meilleur solution devait être de les affronter un par un si on ne voulait pas perdre trop de temps et surtout d’énergie, Namida me sortit subitement de mes pensés :
« et toi. Quel est ton don? »
L’alchimie un don, je lâcha un rire je ne pouvais pas m’empêcher de rigoler c’était plus fort que moi pourquoi tout le monde pense que la magie peut être un don et surtout que l’alchimie est un don certaine magie peuvent tuer leur propriétaire et l’alchimie pouvait le faire selon son utilisation, je me releva et la regarda :
« Mon don ou plutôt ma magie ce nomme alchimie, elle permet à son utilisateur de changer une quantité de matière en une autre, mais sache une chose si elle est mal utilisé pour faire de trop grand changement ou pour toucher au domaine de dieu elle peut laisser de grave blessures voir tuer son propriétaire, alors ce n’est pas la peine de penser que cette magie est superbe ce n’est pas vrai. »
Sur ceux je me mis dans le lit et je m’apprêtais à éteindre la lumière :
« Il faut qu’on ce couche demain nous nous levons à l’aube pour affronter le premier mage, il vienne de temps en temps au village et demain il semblerait qu’il n’y en ai qu’un seule qui vienne »
Sur ceux je me tourna pour m’endormir dans un profond sommeil, le lendemain je réveilla la mage au aurore et je descendis en ville pour attendre le mage.
J’attendais la réponse du mage. Restant polie, je continuais de lui faire face même si, d’un certain point de vue, je souhaitais me retourner vers la fenêtre pour observer le ciel. Je ne laissais transparaître aucune émotion, en tout cas, c’est ce que je m’efforçais de faire … un jeu d’enfant pour une personne y étant habituée. Alors que je m’installais sur le cadre de la fenêtre, j’entendis Ren rire de ma dernière question. Qui avait-il de si drôle ? Ne m’avait-il pas posé la même quelques minutes plus tôt ? J’eux alors la réponse à cette énigme lorsqu’il se releva vers moi pour m’expliquer sa magie.
Alors, je n’étais donc pas la seule à ne pas aimer ce qu’on m’avait offert. Un autre dont la magie pouvait tuer son propriétaire. Malheureux sont ceux ignorant la chance qu’ils ont … *petite rire intérieur* pourquoi avait-il l’air fâché ? S’il venait à mourir, ce n’était certes pas de la faute de son don, mais de lui même … moi je n’avais pas cette chance.
Alors que j’allais lui répondre, l’alchimiste s’installa dans son lit et me laissa dans la noirceur de la chambre. Que quelques rayons lunaires traversaient doucement la pièce. Alors que mon regard se tourna vers la fenêtre pour observer le peu de lumières qu’il m’était possible de voir, le mage ajouta qu’il était temps de se coucher et que les affrontements commenceraient demain. Puis, plus un son de sa part … il s’était endormi.
Je pris alors quelques instant … ou était-ce des heures, pour contempler de nouveau le ciel étoilé. Si seulement je connaissais la raison de cette nostalgie … de cette mélodie qui me revenait chaque nuit où je contemplais désormais le ciel. Un jour, un jour j’aurais la force de ne plus pleurer …
Je ne sais plus exactement l’heure de mon couché, mais je m’étais écrasé dans mon lit telle une crêpe sur une poêle sans même me soucier de m’abrier. Et, comme promis, Ren me réveilla à l’aurore. Je dois avouer que j’étais quelques peu perdue. C’est alors que j’entendis un bruit sourd provenant de l’extérieur qui me réveilla complètement. Quoi ? Le mage était déjà arrivé ? J’accourue à l’extérieur, retrouvant par le fait même l’alchimiste qui m’attendait. Non loin de là, au bout de la rue principale, l’on pouvait apercevoir deux colonnes de poussières et des cries de villageois en panique se ruant vers notre direction. Hurlant de fuir les lieux.
C’est alors que je j’aperçue la silhouette de notre ennemi, une massue en pierres à la main. Tout en riant, il défonça une maison à l’aide de son arme. L’un des morceaux se détacha et vola dans notre direction. Une fois à notre hauteur, celui-ci s’arrêta net devant moi, mon bouclier ayant quelque peu amorti sa « chute ».
- Génial ! Un fou furieux qui détruit des maisons …
Le morceau de maison était tel que je ne pouvais plus voir l’ennemi approcher. Je ne retournais vers Ren.
Je pose à peine le pied dehors que un bruit ce fait entendre je dirige mon regard en direction du bruit et remarque un nuage de poussière ce lever, un mage marchant dans notre direction avec un grand sourire sur les lèvres, il colla ses deux mains ensemble et il fabriqua une massue en ce qu’il semblerait être de la terre, nous avions donc à faire à une magie de création qu’elle surprise. Le mage avançait vers nous comme s’il m’avait remarqué à ce moment Namida fit son apparition, elle à du être alerté par le bruit, le mage profita de ce moment pour exploser la maison la plus proche de lui.
L’impact produit énormément de morceaux et d’éclats, certains d’entre eux volèrent dans notre direction, j’utilisa ma magie pour créer un mur capable de stopper le morceaux, Namida avait utilisé son bouclier pour stopper le débris, le bruit nous entourait je pus juste entendre quelque mot de Namida :
« Tu vas bien ? »
Je regardais dans sa direction, elle avait l’air de bien aller le seule problème c’est que la magie de ce mage est propice au corps à corps je devrais donc l’affronter et laisser ma partenaire s’occuper de la protection des villageois :
« Je vais bien ce n’étais rien, pour battre le mage on vas procéder de la manière suivante, je l’attaque au corps à corps, toi essaye de protéger les villageois, mais si tu vois que ça tourne mal pour moi viens me prêter main forte. »
Je n’attendis même pas sa réponse, je partis droit sur mon ennemis et comme prévue il allait sans doute me frapper avec sa masse quelque chose de bien prévisible il ne devait pas être un lumière, j’activa un de mes cercle et transforma sa masse en sable, j’avais toute mes chances contre l’ennemis, je possédait la capacité de décomposer ses créations avec aisance. Le mage en face semblait assez rapide dans les créations car il avait déjà crée une grande épée et avait commencé à me frapper sur le côté droit, juste le temps de dresser un mur pour parer le coup ; j’utilisais mon autre mains pour créer une main de terre et lui entraver ses mains un mage de création sans main n’est rien.
Seul petit problème, le mage ne semblait pas vouloir ce laisser faire ainsi il créa vite une main comme moi pour bloquer la mienne, il était peut être prévisible mais la vitesse lui serait favorable contre moi, il fallait agir autrement, pendant qu’il m’attaquait je m’occupais du sol environnant pour faire en sorte qu’il s’effondre si nous bougions, bien sur le mage ne ce rendit compte de rien juste au moment où il fit un pas en avant le projetant sous terre. Le voilà dans un trou de deux mètre de profondeur et une surprise supplémentaire l’attendait, le sol avait été recomposée comme des sables mouvant, j’espérais juste une chose qu’il n’ait pas un tour dans son sac, je venais d’utilisé une grande quantité rapidement pour faire autant de modification dans le sol.
Avant qu’il n’ait le temps de me faire une petite surprise je fit une main géante et l’écrasa avec pour le mettre hors d’état, je m’assis par terre pour voir si le mage allait faire quelque chose pour sortir de sous ma main et surtout pour récupérer des forces. Je regardais en direction de Namida :
L’alchimiste c’était rué sur l’ennemi après m’avoir annoncé que je devais m’occuper de la protection des villageois. Ce n’était pas une mauvaise idée. Après tout, comment aurions-nous pu faire autrement? Je ne pouvais même pas blesser l’ennemi … uniquement l’épuiser. *soupir* Fallait-il que sa réserve soit plus petite que la mienne. Encore. Encore se rabaissement de soi-même. Encore cette folle impression que je n’étais pas à ma place. Encore … encore cette chimère qui ne cessait de revenir me hanté.
Je commençai à sentir une douleur dans ma poitrine. Un énorme point sur le cœur. Je sentis mes membres faiblir avant de tomber, mes genoux et mes mains au sol. Tranquillement, ma vue se brouilla, ne me laissant entrevoir que des ombres.
Mes songes de la dernière nuit refaisaient soudainement surfaces comme si je n’avais pas suffisamment souffert. J’avais crue remarquer que c’était de plus en plus fréquent. Me perdant entre réalité et fiction, mensonges et vérités. Parfois, ce n’était que de mauvais souvenirs, impossible à oublier. Mais, ce n’était pas le moment. Je ne pouvais pas faiblir, pas maintenant!
Je tentais de reprendre mon souffle, de me calmer de cette situation tellement désagréable. Je ne pouvais me montrer faible devant Ren. C’était des plans pour qu’il ne désire plus faire de missions avec moi. Dans un sens, est-ce que cela me dérangerait réellement? J’avais toujours fonctionné seule … comme une mage indépendante. Un partenaire, ou non, n’y changerait rien.
C’est un cri de détresse qui me fit sortir de ce songe. Perdue, j’observais les lieux, essayant de trouver l’origine du bruit. Cela provenait d’un petit garçon en pleure. Avec difficulté, je courue du mieux que je pouvais vers lui, mais au moment de le prendre avec moi, celui-ci me pointa l’un des bâtiments en ruine. Je ne pu comprendre ce qu’il me disait, incapable de discerner le moindre mot de ces pleures. Alors que j’essayais de comprendre l’enfant, je tentais de combattre ma propre douleur. Après quelques instants, il me bafouilla que sa petite sœur était encore prise dans la maison. Mon regard se tourna alors vers les ruines au moment même où un morceau de la maison s’y détacha. Je pris donc l’enfant dans mes bras et activa mon pouvoir afin de repousser le tout. C’est à ce moment que la petite fille se dévoila. Du haut d’une maison, l’enfant pleurait, refermée sur elle-même. J’allais donc tranquillement la chercher et la ramener près de son frère. Puis, comme par miracle, les parents arrivèrent. Je retournai donc près de Ren qui, comme une horloge bien programmée, venait de terminer son combat.
- Je le souhaite !
Je tournais mon regard vers le village désormais un champs de bataille. La majorité des habitants n’étaient plus présent, cachés dans les environs par crainte que la mort ne vient les prendre.
- Et maintenant ? Quelle est la suite du programme ?
Je fis une grimace de douleur. Décidemment, ce n’était pas le bon moment pour une telle chose.
![[Abandonné]Wolf hunt [PV Ren Hagane] Pp95](https://2img.net/h/www.zupimages.net/up/16/22/pp95.png)
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