Je ne sais pas exactement combien de temps j’étais parti me promener, la guilde me manquait, même si je trouvais l’endroit esthétiquement moche, je ne pouvais m’empêcher de revenir en appelant cet endroit ma « maison ». J’ouvris les portes, commençant à marcher en direction du bar pour commander quelque chose à me mettre sous la dent, mais une personne m’interrompait en me disant que j’étais demandé en aide dans la cave.
Je pris donc la direction de cette dernière, avant de tomber sur un simple larbin, m’indiquant que la femme enchainé devant lui avait une petite information pour la mission qu’il était en trin de faire, mais que cette personne ne voulait rien dire, c’est pour cela qu’il demandait mon aide, à moi, le grand-maître de la torture. M’approchant de la dame, cette dernière nous suppliait de la relâcher, qu’elle avait une famille et qu’elle attendait un nouvel enfant, son ventre ne disait en aucun cas le contraire. Je pris donc un scalpel, racontant à l'abruti de larbin qu’une information comme celle la était capitale pour la torture, je posais donc le scalpel sous le nombril de la femme qui criait à l’aide, qu’elle dirait tout si on la ,, j’appuyais donc sur la lame, faisant une grosse entaille en suivant la courbe de son ventre une première fois sous ses cris qui étaient comme une berceuse à mes oreilles, elle cria alors qu’elle dirait tout, mais qu’on laisse l’enfant vivre. Pris d’un élan de bonté, je mis ma main dans la plaie, faisant sortir la chose immonde qui devait surement être le futur enfant, sous les hurlements de la prisonnière qui lâchait alors toutes les informations donc nous avions besoin. Autant finir en beauté alors, je jetais la chose ignoble au sol avant de l’écraser du pied sous un rire déchirant, avant d’égorger la femelle, jetant le scalpel au larbin avant de remonter dans le hall.
Commandant enfin ma nourriture et à boire, je pris part à une table en commençant à déguster mon assiette, mais, quelques minutes après, un papier ressemblant à un ordre de mission s’écrasa devant moi et je sentis le canon d’un flingue se poser sur ma tempe.
" salut blondie ! tu as cinq secondes pour accepté de venir faire cette quetes avec moi attention ! Tic...tac...tic..."
Je me levais donc, tranquillement, avant de prendre l’homme à la chevelure verte par le col et l’écraser contre un mur, un gantelet sous sa gorge, exerçant une légère pression.
« Alors on va faire les choses bien, appelle-moi « Blondie » encore une fois, et je te tue, parle-moi mal comme ça, je te tue, donne-moi un ordre, JE TE T-U-E !!! Vous les humains ne savaient pas parler à vos supérieurs, vous êtes vraiment de la merde en boite ! Tu veux jouer avec ça ? Pas de problèmes ah ah !!! »
Je pris donc l’arme et enfonçai le canon dans ma bouche, attendant quelques secondes pour voir la réaction de l’homme à la salade sur la tête, avant de cracher ce dernier et bousculer l’asperge.
« Bon, le poireau » regardant l’ordre de mission « Déjà, si tu m’avais dit qu’il fallait tuer quelqu’un, j’aurais de suite dit oui !!! Allé, ma petite coccinelle des champs brumeux, fait tes valises et on se casse ! »
Je relâchais donc la personne avant de retourner m’asseoir pour finir mon assiette en quatrième vitesse et sorti rejoindre mon futur compagnon de voyage. La route n’allait pas être bien longue, la mission était en plein centre ville d’Akurio, autant faire connaissance pour le peu de route qu’on avait à faire.
« Alors mon petit coquelicot des champs, pour toi, ce sera Ryuku-sama, sempai à la limite, je serais le professeur de ton cœur, le maître de ta vie, de tes émotions, donc, tu feras ce que je te dis, si je te dis de dégager, tu dégages et, je me foutrais de ta gueule, si je te demande de tuer, tu tues où je te tue, c’est toi qui choisis, après, tu ne viens pas me casser les noix de coco, sinon je te coupe ce qui te sert d’organe reproducteur et te le greffe sur le front. »
Nous arrivions vite au niveau de la ville, elle était déserte et les quelques personnes qui se baladaient se cachaient dans les ruelles sombres ou dans leurs maisons, ils connaissaient toutes les personnes de la guilde, et en particulier les Émissaire de Dark Dragon, ils ne voulaient pas finir les tripes en colliers autour de leur cou, ou étouffé par leurs graisses, au préalable découpé de leur ventre, je regardais donc mon compagnon le petit-pois, demandant ou était l’homme qui avait donné la mission.