L'hiver commençait à se montrer et c'est par une belle après-midi que je sortais dans le centre ville de Oark Il y avait beaucoup de magasins et je ne savais pas par ou commencer. Prise au dépourvue j'utilisai ma technique de toujours...

- Pique nouille c'est toi l' andouille !

Plus tard :

Je venais de faire mes achats de vêtements, j'avais les bras chargés de paquets et de sacs. C'était très lourd !

Les rues grouillaient de monde et il ne faisait pas très chaud et. Je commençait à ne plus sentir mes pieds tellement ils étaient gelés. J'étais très contente. Grâce à l' argent que j'avais gagné à la quête de la semaine dernière.

Maintenant je me préparais à rentrerau dortoir de Thunder Night. Quand souidain je glissai sur un pavé humide et m'étala par terre...

- Hé faites attention ! [...]

Habillée d'une simple chemise blanche, un short noir lui arrivant au cuisse, une longue veste bleu et des bottes, Kowai se baladait dans les rues de Oark. Elle se sentait tout d'abord fascinée, mais ensuite heureuse. L'ex-albinos n'avait jamais visité d'autre ville ou village que le sien. La jeune Fantasia s'occupait de ses frères ou s'entrainait, or elle n'avait pas beaucoup de temps pour elle. Alors visitait d'autres villes ? Elle n'y pensait pas du tout. Et l'entrée dans cette guilde était une occasion en or.
Le matin, elle s'ennuyait énormément. Pas une mission intéressante sur le tableau et la plupart était essentiellement pour les groupes. Elle n'avait pas vraiment de groupe. Kowai eut la soudaine et bonne idée de faire du tourisme dans ce vaste monde. Elle avait payé un ticket de train au hasard, mais l'ancienne albinos n'était pas mécontente du choix. Aujourd'hui, c'est Oark. Demain ? L'ex-albinos l'ignorait et elle s'en fichait royalement. La jeune femme sautillait presque de joie. Kowai avait passé l'après-midi à visiter la ville et s'achetait quelques petites babioles. En milieu d'après midi, quelques sacs dans les mains, elle alla boire un thé et elle en profita pour faire des esquisses de la ville. Quelques un des croquis étaient sur des avenues, des rues, des parcs et des magasins.
Puis, elle arriva dans le centre-ville. Kowai remarqua que la plupart de la population se concentrer ici. Elle sourit. La jeune Fantasia acheta quelques bonbons et erra dans les rues pendant un bon quart d'heure. Quelqu'un glissa près d'elle.

- Hé faites attention ! Dit-elle gentiment.

C'était le premier réflexe qu'elle eut. Par la suite, elle tendit sa main droite qu'elle s'était entaillée pour pouvoir utiliser sa magie. Et fit un sourire à la jeune femme.

J'aperçus une main tendue devant moi. Je la regardais. C'était bizarre, elle est entaillée. J'hésitais ensuite, mais je saisis cette main et me relevais sans encombre.

- Merci dis-je en époustant mon kimono.

Je le regardais. Oh non ! Il s' était déchiré au niveau du genou. Il était bon pour aller à la poubelle ou servir de chiffon. Je relevais les yeux. Une jeune femme celle qui avait surement dû me tendre la main se tenait devant moi. Je sentis de la magie émaner d' elle. Elle faisait peut-être partie d'une guilde. On dirait un fantôme tellement elle était pâle ! Je n'osait pas la regarder dans les yeux, ils avaient une couleur bizarre. J'engageai la conversation :

- Euh vous faites partie d'une guilde ?
- [...]

Kowai détailla la personne
qu’elle venait d’aider. Elle a des cheveux roux
clairs longs un peu en bataille. La jeune femme en face d’elle avait les yeux verts. Ces cheveux étaient assez longs, mais pas aussi que les siens, certes, mais cela restait plutot long. D’un vert semblables à ceux des émeraudes. Enfin, selon Kowai. Elle avait l’air d’avoir la vingtaine, la jeune inconnu semblait presque avoir le même âge que Kowai. Elle semblait être gênait. En même temps,
l’apparence de la jeune femme n’arrangeait pas les choses. Elle ressemblait à un fantôme. C’était pire qu’avant. Avec ses cheveux blancs neiges, elle ressemblait moins à un fantôme. Ses cheveux teint en noir lui donner un air maladif. Ses yeux rouges sang donnaient souvent naissance à un mal aise.

- Je fais partie de Wave Stream et vous ?

Elle lui sourit et évita de la regardait droit dans les yeux. Elle essaya de cacher son poignet sous la veste qui ne cachait que partiellement ses blessures sur le bras et le poignet. La demoiselle baissa légèrement la tête. Elle ressentait de la magie émané de l’inconnue. Au début de leur rencontre, elle n’avait pas fait très attention à l’aura magique de la jeune femme, trop fasciné par la ville.

Oh non ! Elle avait vue que j'étais gênée ! Je suis vraiment pas douée avec les inconnus !

- Je fais partie de Wave Stream et vous ?
- H...Huh ?... Ah je fais partie de Thunder Light, la guilde de cette ville !
- Et je maîtrise la magie de foudre. repris-je
- [...]

Je lui indiquait la direction vers la guilde de la main. Elle regarda d' un air inquiet la longue déchirure qui barrait mon kimono au niveau du Genou Je répliquai :

- Ce n'est rien ! de toute façon je viens d'en acheter un nouveau spécial pour l'hiver !
Je sortis mon kimono du sac. En y repensant un peu j'avais un peu l'air débile !
- [...]

Kowai regarda vers la guilde de Thunder Light que la jeune femme désignait. Elle semblait assez grande d'où elle était. De plus, c'était elle la fameuse mage qui contrôler la foudre ? Intéressant. La magie élémentaire était magnifique à regarder, mais elle pouvait être aussi dangereuse qu'un lion affamé. La sienne était aussi dangereuse pour elle que l'ennemie. Elle aurait bien aimer contrôler le sang des autres. Mais c'était trop demandé. Cependant, cette magie avait des avantages. Lors d'une quête, elle avait ralenti son rythme cardiaque et les ennemies la croyaient morte. Et elle les a capturé quand ils ont voulu partir.

- Ma magie se nomme Arc of Blood. J'utilise mon sang pour me battre.

Elle tira un peu sur la manche de sa veste. La jeune femme n'aimait pas montrer ses blessures aux autres. Mais elle n'avait pas vraiment besoin de bander ses blessures. Superficielle ou sérieuse. La jeune femme vit que le kimono de la mage de Thunder Light était déchiré. Elle avait du ce le déchirer quand elle est tombé. La jeune femme remarqua que j'avais vu qu'il y avait une déchirure sur le kimono.

- Je vois… Nous avons commencé une discussion mais nous ne connaissons pas nos noms. Je me nomme Kowai Fantasia. Et vous ?

Kowai oublia presque la politesse. Mais les oublies, ça arrive non ?

[Zut J'ai mis mon coude sur la touche Effacer !]

J'avais complètement oublié de lui demander son nom !
- Je m'appelle Arashi Sandei, ravie de vous rencontrer !

Son nom lui allait si bien ! Je baissa les yeux vers les marques sur ses bras inquiète.
- Votre magie ne vous fait pas trop souffrir ?
- [...]

Depuis le début, je la vouvoyais et puis je commençais à ne plus sentir mes pieds.
- Nous pourrions peut-être aller autre part car je commence à avoir très froid. Je connais un endroit où nous pourrions nous restaurer.

Elle hocha oui de la tête. Nous ne marchâmes pas très longtemps quand nous débouchâmes sur une petite place où trônait une fontaine dont l'eau s'était arrêtée Au fond de la place, on voyait une petite porte avec au dessus un écriteau.

"La petite tasse d'argent"

C'était un mignon petit salon de thé. Nous y entrâmes et nous nous sommes assises à une table de deux personnes. Une serveuse arriva et nous présenta la carte.

- [...]

Arashi Sandei… C'est un beau nom. Très beau. Elle trouvait que c'était beau et classe. Et facile à retenir. Il n'était pas compliqué et il lui allait bien. Le sien n'était pas aussi beau selon elle. Et la signification de son nom était … Eum… Étrange ? Sinistre Fantaisie. Qui voudrais se nommait ainsi volontairement ? La famille de son père possédait ce nom depuis des siècles. Sa mère voulait appeler sa fille Kowai. Aller savoir pourquoi. Puis, le destin a joué avec ses deux parents et voilà le résultat.

- De même Arashi.

Par la suite, elle lui demanda si sa magie ne lui faisait pas mal. Elle pouvait pas nier, que cela faisait pas mal. Mais au fil du temps et des entrainements, la jeune femme s'était habituée à la douleur et faisait moins mal qu'au premier jour de son entrainement. Et puis, maintenant, à chaque coupure qu'elle se faisait,accidentellement ou volontairement, Kowai pouvait durcir son sang pour qu'il arrête de couleur ses blessures.

- Je me suis habituée.

Arashi lui proposa d'aller quelque part. Elle fit un hochement de tête pour qu'elle comprenne qu'elle accepte. Les deux jeunes femmes commencèrent à marcher et arrivèrent à une place. Elles virent un petit café qui se nommait " La petite tasse d'argent ". Elles y entrèrent. Le papier peint du café était dans les tons beige et crème. L'endroit était lumineux. Les tables sont rondes et sont recouvert par une jolie nappe blanche et sur chaque table, il y avait un vase avec des fleurs fraiches. Elles s'assirent à une table où elles seront en face à face. Une serveuse arriva et leur tandis la carte. Kowai salua la serveuse et la remercia quand elle reçut la carte. La jeune femme regarda rapidement la carte.

- Je voudrais un fondant au chocolat et une tasse de Earl Grey Tea, s'il vous plait.

Hors sujet:

Je regardai pensivement la carte. Je trouvai (enfin) ce que je voulais.
- Je voudrai un Milk Tea et un Donut

La serveuse nous repris nos cartes.
- Je vous apporte ça tout de suite.

Elle repartit derrière une petite porte sûrement la cuisine. Même si je venais ici régulièrement, je ne me lassai pas de regarder le salon de thé. Il y avait une nappe blanche et un vase de fleurs sur notre table. Les murs étaient couverts de papier peint à fleurs. Trois minutes plus tard, la serveuse réapparut avec un plateau. Elle posa notre commande sur la table et repartit aussi vite. Je saisit la tasse et laissai sa chaleur me réchauffer. Kowaï en face de moi commençait à boire son thé.

- Qu' est-ce que vous faisiez à Oark ?
- [...]

La serveuse repartit après avoir prit la commande de Kowai et d'Arashi. Kowai regarda la table. Une jolie petite table ronde avec une nappe blance et sans aucun motif. Un petit vase avec quelques motifs, simple mais magnifique et contenait des marguerites. C'était mignon. Elle aimait bien les marguerites mais elle préférait les lotus. C'était beau à regarder. Le papier peint était tout aussi mignon que le vase de marguerite. C'était un endroit plutôt lumineux. La serveuse revint avec leur commande et les déposa sur la table. Kowai la remercia et but un peu de son thé.

- Qu' est-ce que vous faisiez à Oark ?
- Je suis ici pour visitée la ville.

Passer une vie dans une seule ville, c'était pas vraiment ce qu'elle souhaitait. Et puis passait dans une ville pour une mission et rentrait presque tout de suite, c'était pas génial non plus. De plus, elle aimait bien découvrir de nouveaux endroits, les regardait longuement et parfois s'assoir sur un banc et dessiner. Elle reprit une gorgée de son thé. Kowai ne savait pas trop quoi dire.

[On va mettre un peu d' action !]

- Je suis ici pour visiter la ville.
L' atmosphère était tendue. Je ne pus réprimer un petit bâillement. Soudainement, un individu louche avec un arme à la main fit irruption dan le salon. Un mouvement de panique se fit ressentir. Je me levai d' un coup, faisant tomber ma chaise.
- Maintenant vous allez être tous très gentils et nous donner tous ce que vous possédez !

Nous ? Il avait bien dit nous ? Ils étaient donc plusieurs. En effet, 5 malfrats firent irruption. Ils étaient armé jusqu' aux dents.
- [...]

Kowai but une gorge de thé et se contenta de regarder les pétales de fleurs, n'osant pas la regarder droit dans les yeux. La première fois qu'elle l'avait regardé dans les yeux, elle l'avait senti gênée. Elle continua à boire tranquillement son thé, jusqu'à qu'elle finisse la tasse, un peu trop rapidement à son gout. La jeune femme entendit quelqu'un parler avec un ton peu amicale. Il venait de leur ordonner de leur donner tous ce qu'elles avaient. Tous ce qu'elle avait c'était une simple petite dague, un carnet à dessins, des fusains et de l'argent. La jeune demoiselle refusait de lui donner son sac. Ils étaient plusieurs. Arashi s'était levée et avait fait tomber sa chaise. Kowai jeta un coup d'oeil vers les serveurs et serveuses. Ils semblaient assez terroriser. Faisaient-ils ce coup régulièrement ? Elle l'ignorait mais cela lui paraissait évident que oui.

Kowai se leva doucement en prenant son sac avec elle, gardant sa main proche des poches de son sac et se posta devant le voleur. Il ne lui faisait pas peur. Sans ses bottes à talons, il devait faire deux têtes et demi de plus qu'elle. Mais grâce à ses bottes à talons, le malfrat ne faisait que deux têtes de plus qu'elle. La jeune femme regarda les cinq autres voleurs, armés. Leurs agresseurs étaient tous grands et forts. Mais l'ex-albinos a été entrainée pour ne pas avoir peur des adversaires de ce genre. Le malfrat qui semblait être le chef avait une arme à la main. Une arme blanche. La jeune femme sourit. Si elle se faisait blessée légèrement, elle n'en souffrirait point. D'ailleurs, elle ne risquait pas de mourir parce qu'elle aurait perdu un peu trop de sang. Si elle se faisait légèrement couper, Kowai serait à son avantage.

- Je refuse de donner mon argent ou quoi que ce soit à une bande de voleur stupide, gros et incompétent.

Stupide et incompétent car on attaque pas des mages et gros, c'était ce qu'ils étaient. Ils étaient juste des gros tas de muscles qui ne set à rien. Cette phrase ne sembla pas lui plaire. Il grinça des dents et sortit :

- On a été gentils avec vous, mais vous nous avez insulté alors vous allez nous le payer !

Arashi n'avait rien fait dans l'histoire. Kowai avait réagi avec calme car elle était habituée par ce genre situation. Les malfrats se jetèrent sur elles et tentèrent d'arracher le sac de l'ancienne albinos et de prendre les affaires d'Arashi. La mage de Wave Stream évita les bandits et leur fit un croche pied à l'un d'entre eux. Celui-ci tomba lourdement sur le sol, rencontrant quelques chaises lors de sa chute. Mais se releva avec quelques difficultés. La jeune fille se tourna vers Arashi.

La jeune femme avait répliqué à ses agresseurs. Elle ,ne se laissa pas démonter.
- On a été gentils avec vous, mais vous nous avez insulté alors vous allez nous le payer !

Je n' étais pas du tout impressionnée par ces moins que rien qui ne savait même pas reconnaître des mages de guildes. Un homme dirigea sa mitraillette vers nous et appuya sur la détente. Instinctivement. je renversai notre table d' un coup de pied. Un autre armé d' un fouet se jeta sur moi. Je dégainai mon sabre et coupa l' arme en deux. J' envoyais valser l' autre d' un coup de pied au flanc.
- Flash !

Kowaï elle se battait de son côté. J' aperçus un qui voulait la prendre par derrière. Ni une ni deux, j' envoyait un sortilège.
- Lightening !

L' éclair érafla le mur. Zut ! cela allait être retenu sur mon salaire.